CONNAISSANCE DE SOI : 13 injonctions parentales et leur contournement
Qu’est-ce qu’une injonction ?
Il s’agit d’un message négatif d’interdit qui est transmis inconsciemment du parent vers l’enfant, entre 0 et 6 ans. Le but est d’inhiber certains sentiments et/ou comportements. Les injonctions précèdent les messages contraignants qui les renforcent après 6 ans, de manière verbale.
Les injonctions, au contraire, sont souvent transmises de manière non-verbale, par un comportement, une attitude, un regard… Mais elles peuvent aussi être renforcées par des maximes, des commentaires ou des paroles qui ponctuent la vie de famille, comme « Chez nous, on a jamais eu de chance » ou « Nous, les « Bonnet », on ne demande rien à personne !»…
Chaque individu reçoit des injonctions, certaines plus fortes que d’autres, mais on ne les a pas forcément toutes.
Le parent, en tant qu’éducateur, pose un cadre avec des limites à son enfant. Le fait de perdre patience, de s’énerver, ou de ne pas savoir quoi faire face aux demandes ou aux crises de l’enfant conduit aux injonctions parentales. « Ne saute pas partout ! », « Arrête de pleurer », « Ne me dérange pas pendant que je cuisine »… Ces directives partent d’une bonne intention. Elles sont destinées à donner une bonne éducation et à permettre à l’enfant d’évoluer comme il faut au sein de la société. Mais attention, à leurs réels effets !
Comment les injonctions parentales agissent-elles ?
Elles participent énormément à la construction de scénarios de vie entre 5 et 7 ans. Elles influencent sur la façon de se comporter et de réagir face aux situations difficiles. Elles agissent comme des guides de bonne conduite que l’enfant accepte généralement pour obtenir la reconnaissance de son parent. Ou au contraire, l’enfant peut les transgresser inconsciemment. Par exemple, le petit dernier d’une fratrie reçoit souvent l’injonction de ne pas grandir trop vite. Il peut alors vouloir pratiquer une activité sportive et oser prendre des risques, pour faire comme les grands.
A l’origine des scénarios de vie, il existe des positions de vie qui concordent avec la façon dont la personne se voit et la façon dont elle voit les autres. Les 4 positions principales sont :
◾ JE + TU +
La personne est bien dans sa peau et bien avec les autres. Elle s’accepte et accepte les autres tels qu’ils sont. Les échanges de valeurs, de conseils, d’information, de réflexion, de coopération, de plaisir… sont possibles. La communication est directe, sans arrière-pensée.
◾ JE + TU –
La personne persécute les autres ou veut les sauver. Elle se sent supérieure aux autres et a tendance à les critiquer ou à les protéger. Elle ne veut croire qu’en ses propres valeurs. Elle méprise ou néglige les autres. Cela peut conduire au paternalisme, au harcèlement ou à des comportements pervers. La solution est d’apprendre à valoriser les autres
◾ JE – TU +
La personne se sent inférieure aux autres. Elle se dévalorise. Elle doute d’elle. Elle ne se sent pas à la hauteur. Elle se sent mal dans sa peau. Son comportement est celui de la soumission ou de la contestation. Elle regarde les autres avec admiration. Elle donne aux autres le privilège d’être son juge.
◾ JE – TU –
La personne a une perception qui la conduit à ne faire confiance ni à elle ni aux autres. Il s’agit d’une position particulièrement difficile à vivre car elle peut se traduire par un repli sur soi, l’isolement, voire la dépression. La solution est de se reconnecter à soi afin d’apprendre à se valoriser et à valoriser les autres.
L’enfant qui enregistre les messages négatifs répétés, en fait des interprétations qui n’ont plus de sens une fois qu’il devient adulte. Pourtant il continue à vivre avec ces injonctions souvent ambivalentes, sans les remettre en question. L’ado auquel le parent ne laisse aucune autonomie, responsabilité ou liberté peut en conclure qu’il n’est pas digne de confiance et garde ce message à vie. Mais, fort heureusement, un scénario de vie n’est jamais définitif et peut être modifié en travaillant consciemment dessus.
Quelles sont ces injonctions parentales ?
Bob et Mary Goulding, deux thérapeutes et analystes transactionnels, ont répertorié à la fin des années 60, 12 injonctions négatives que je vous partage :
👉 «N’existe pas » pour faire comprendre inconsciemment à l’enfant qu’il doit être transparent, se faire oublier, qu’il ne doit pas faire de vague ou ne pas gêner les autres.
Par exemple « Si je ne t’avais pas eu, j’aurais pu … », « J’ai tellement souffert quand tu es né », « Quand tu es né, j’ai dû arrêter mes études et trouver un travail », « On ne voulait pas d’un deuxième enfant mais tu es arrivé »…
Cette injonction provient de comportements d’adultes mal dans leur peau, de menaces parentales transmises par l’indifférence ou la brutalité. Elle induit de la dévalorisation et un sentiment de ne pas être digne de recevoir de l’amour.
L’enfant peut traduire cette injonction par « je peux continuer à exister tant que … ». La suite peut être multiple : je fais ce qui est attendu, je me débrouille seul, je travaille dur…
👉 «Ne sois pas toi-même » pour que l’enfant rentre dans le moule, fasse comme tout le monde ou au contraire n’agisse pas comme les autres
L’injonction exprimée peut être « On aurait tellement voulu avoir un garçon », « T’es bien comme ta tante », « Tu ressembles tellement à … », « Ta sœur, elle est déjà prête »…
Le message transmis est à l’origine de comportements calqués sur le modèle désigné par le parent.
L’enfant peut en conclure qu’il doit être quelqu’un d’autre pour recevoir des signes de reconnaissance de son parent.
👉 «Ne sois pas un enfant » pour inculquer inconsciemment à l’enfant qu’il ne faut pas s’amuser ni avoir de plaisir.
Cela peut être « T’es pas un peu grand pour faire un caprice ? », « Arrête de t’amuser un peu », « Sois sérieux deux minutes », « T’es plus un bébé », « Un grand comme toi çà ne pleure pas », « C’est toi l’ainée, tu es responsable de ton petit frère »…
Ce type de phrases peut provenir du parent qui se sentait menacé, petit, à la naissance d’un autre enfant. Elle peut également se manifester à l’âge adulte par de la maladresse avec les enfants car la personne n’a jamais pu se comporter comme un enfant en étant petit et ne comprend pas les comportements enfantins. Mais elle peut aussi être issue des ainés ou des enfants uniques qui ont pu s’infliger eux-mêmes cette obligation. Prenons l’exemple d’un enfant unique qui voit constamment ses parents se disputer. Il peut avoir ce raisonnement « Papa et maman se disputent tout le temps. Ca doit être de ma faute car je suis le seul enfant. Je dois vite être responsable de mes actes ».
L’enfant peut interpréter cette injonction comme « Mon parent veut bien me supporter que si je me comporte comme un adulte et non comme un enfant »
👉 «Ne grandis pas » indique à l’enfant de rester petit, de ne pas prendre de responsabilité, de ne pas être autonome et de rester dépendant de son parent.
Par exemple « Tu es trop petit pour débarrasser la table », « Tu es trop jeune pour apprendre tes leçons tout seul »…
Ces phrases peuvent venir de l’adulte dont toutes les valeurs se résument à être un bon parent et qui ne veut pas voir son enfant grandir pour quitter le nid. Mais elles peuvent aussi résulter d’un parent qui n’a jamais vraiment grandi et qui veut garder son camarade de jeu.
L’enfant peut comprendre par cette injonction qu’il ne faut pas devenir adulte, mur, réfléchi, sexué…
👉 «Ne pense pas » pour que l’enfant obéisse et ne pose pas trop de questions
Les expressions peuvent être du genre « Mais t’es bête ou quoi ? », « Tu comprends rien », « Ne sois pas si curieux », « T’as pas autre chose à faire de plus intelligent ? », « Ne pense pas à ça (le sexe, l’argent, la mort…)»
Cette directive émane du parent qui ne laisse pas son enfant penser par lui-même et qui le critique constamment. Elle exprime le message de s’intéresser à n’importe quoi sauf du sujet actuel. Elle est à l’origine d’un manque de clarté, de malaise et/ou d’impossibilité d’en discuter.
L’enfant peut faire un raccourci et se dire « Je ne peux pas penser ce que je veux. Je dois penser ce que mon parent veut ».
👉 «Ne fais pas » pour faire toujours à la place de l’enfant ou restreindre ses actions
Par exemple « Laisse-moi faire », « Repose le couteau c’est trop dangereux », « Ne monte pas sur le muret », « Ne prends pas de risque », « Qu’est-ce que tu es maladroit ! », « Quelle catastrophe ce gosse ! »
Ce type d’injonction est transmis par le parent qui pense que n’importe quelle action de l’enfant est dangereuse, donc autant qu’il ne fasse rien. Il a peur que l’enfant se blesse, déclenche une catastrophe, s’éloigne…. De même, un parent qui hésite constamment face à la prise de décisions et qui a un sentiment d’incompétence peut ne rien entreprendre et attendre que les autres décident pour lui car il a lui-même reçu cette injonction.
L’enfant peut alors devenir un assisté.
👉 «Ne réussis pas » insinue que l’enfant ne doit pas donner le meilleur de lui-même. Il ne doit pas utiliser toutes ses capacités. Il doit se contenter d’échouer. Il doit être inférieur à son parent et ne surtout pas le dépasser.
On retrouve des expressions comme « Tu devrais pas choisir ce coloriage. Il est trop dur pour toi. », « Tu n’y arriveras pas », « L’école ce n’est pas ton truc », « T’es nul »…
Cette injonction provient du parent qui envie inconsciemment son enfant. Elle est à l’origine de l’auto-sabotage de l’enfant qui le conduit à l’échec dans certaines situations jalousées.
L’enfant peut donc interpréter cette directive de cette façon « Si je deviens plus beau, plus riche, plus intelligent, plus diplômé, plus …. que mon parent, il ne m’aimera plus ».
👉 «Ne sois pas important » pour faire comprendre inconsciemment à l’enfant qu’il doit cacher ses succès, rester modeste, ne pas avoir d’influence et ne pas prendre de pouvoir.
Cela peut se traduire par des phrases comme « Tu te prends pour qui ? », « Qu’est-ce que tu veux ? Je n’ai pas la temps pour le moment », « T’es pas le centre du monde », « Tout ne tourne pas autour de toi », « Reste réaliste, n’aies pas trop d’ambition »…
Cette injonction est source d’angoisse quand la personne doit demander ce dont elle a besoin ou de prendre le rôle de leader dans une situation donnée. Elle ne cherche pas à progresser et se sabote dès qu’elle en a l’occasion.
L’enfant peut prendre ce message comme le fait que ni lui et ni ses besoins ne sont importants.
👉 «N’appartiens pas » influence l’enfant à ne pas avoir d’attache et à rester seul.
On retrouve des phrases comme « T’es tellement mieux que intel », « T’es au-dessus des autres enfants de ta classe », « Tu ne ressembles à aucun de nous », « T’es le petit spécial de la famille », « Tu es différent des autres »…
Ce type de message peut être transmis par le parent qui répète continuellement que son enfant est différent, en positif ou en négatif. Le parent peut aussi être l’exemple de ce message en étant lui-même solitaire et incapable de se sentir à l’aise dans un groupe. Dans certains cas, l’enfant peut être désigné comme la source de tous les problèmes. Paradoxalement, cela permet aux autres membres de la famille de se souder davantage contre lui en lui faisant comprendre qu’il est le mouton noir de la tribu.
« Ma famille ne veut pas de moi ». Voici l’interprétation que peut faire l’enfant.
👉 «Ne ressens pas » pour que l’enfant n’exprime pas ses émotions et/ou ses sentiments
Par exemple « Arrête de pleurer », « Mais non, tu ne t’es pas fait mal », « Sois courageux », « Je t’entends encore te plaindre et ça va barder », « Vlà une fessée, au moins tu pleures pour quelque chose », « Ce n’est pas bien d’être jaloux »…
Cette injonction provient du parent qui a réprimé toute ou partie de ses sentiments et sensations. Elle est à l’origine de difficultés à ressentir des sensations physiques, comme la faim, la douleur…Elle peut être exprimée dans des variantes telles que « Ne ressens pas ce sentiment », « Ne ressens pas ce que tu ressens mais plutôt ce que je ressens » ou « Mets ton pull parce que j’ai froid »
Le raccourci qui peut être fait par l’enfant est de se couper de ses émotions et de ses sentiments de peur que ce soit dangereux.
👉 «Ne sois pas proche » pour faire comprendre inconsciemment à l’enfant qu’il doit garder ses distances, ne pas se livrer et ne pas avoir de relations avec les autres.
Les expressions utilisées sont par exemple «Arrête de me tendre les bras, je n’ai pas le temps pour le moment », « Maman nous a quitté. Je ne pense pas qu’elle reviendra », « Ne te fie pas à tes copains »…
Ce type de phrases peut émaner d’un parent très peu démonstratif, qui fait peu de câlins et dit peu ou jamais « je t’aime » car il a lui-même été éduqué de cette façon. Mais cela peut aussi provenir du parent qui interdit la proximité physique car il n’a pas confiance en l’autrui.
La conclusion de l’enfant peut alors être de se méfier de tout le monde quand il a besoin d’aide, voire de mettre à rude épreuve sa relation avec les autres pour être rejeté.
👉 «Ne sois pas en bonne santé » influence l’enfant à être fragile pour recevoir de l’attention de son parent.
Par exemple « T’as une petite mine. Je vais rester à la maison avec toi aujourd’hui », « Il est vraiment fragile » ….
Cette injonction peut être générée par un parent qui n’a pas beaucoup de temps et d’énergie à consacrer à son enfant en temps normal mais qui se rend disponible quand il est malade. Elle peut également être transmise par le parent qui répète constamment à son entourage que son enfant a une santé fragile.
Dans les deux cas, l’enfant conserve l’idée qu’en étant malade, il peut bénéficier de l’attention de son parent. Une fois adulte, la personne peut utiliser cette tactique pour tomber inconsciemment malade quand les choses tournent mal dans ses relations ou dans son travail.
Une treizième injonction a été identifiée plus tard par Françoise Gysa Jaoui que je vous propose de découvrir :
👉 «Ne saches pas » invite l’enfant à rester dans la passivité et/ou l’inconnu.
On l’associe à des expressions comme « Ce n’est pas de ton âge », « Tu sauras plus tard », « Ne pose pas tant que questions », « Je ne veux pas le savoir ! »
Ce type de phrases peut provenir du parent qui veut maintenir une position « dominant/dominé » et laisser l’enfant dans la passivité ou la rébellion, sans donner d’explication. Dans une autre mesure, cette injonction peut aussi interdire l’enfant d’être conscient de secrets de famille comme des addictions sévères, un viol, un inceste, un crime… L’enfant peut prendre une décision par rapport à cette injonction et choisir son scénario de vie. Soit il valide le fait qu’il ne vaut mieux pas savoir ce que cachent les autres et opte pour un comportement passif. Soit il s’arrange pour découvrir ce que cache son entourage et garde ses découvertes pour lui, sans mettre les autres en danger. Cette option, le conduit inévitablement à la suspicion, aux malentendus car il n’ose pas chercher les informations directement à la source.
Quoi qu’il en soit, l’enfant peut interpréter cette injonction en se disant qu’il n’a pas le droit de poser de questions ou tout au moins aux personnes concernées.
A la lecture de toutes ces injonctions, on peut en imaginer bien d’autres comme « Ne demande pas », « Ne dérange pas », « N’éprouve pas de besoins »….
Les étapes pour déconstruire les injonctions reçues
1) Prendre conscience que des injonctions existent dans notre vie
2) Repérer celles que l’on pense avoir reçues
3) Se demander si ces injonctions impactent notre vie. Et si oui, de quelle manière.
4) Utiliser l’outil d’analyse transactionnelle appelé «la roue des permissions » pour contrer les injonctions reçues dans l’enfance
Cet outil a été créé par Gysa Jaoui dans les années 80. Il consiste en un schéma circulaire montrant l’étendue des permissions plus ou moins grandes dont on dispose dans différents domaines de notre vie.
Concrètement, la roue est répartie en 10 cercles dont chacun vaut 10% de permission du total, en partant du centre.
Cet ensemble est découpé en 4 catégories représentant la façon dont on est en relation avec :
◾ Nos sentiments. Dans quelle mesure reconnait-on et exprimons-nous librement, de façon efficace et appropriée, nos 4 principales émotions que sont la joie, la colère, la peur et la tristesse?
◾ Nous-même. A quel niveau se situe notre permission d’exister, d’être en bonne santé physique et mentale, d’être de notre propre sexe, d’être nous-même, de savoir ce que l’on aime et ce que l’on veut?
◾ Les autres. A quel point réussissons-nous à faire confiance, à faire partie d’un groupe (famille, patrie, parti politique…), à nous faire connaitre en profondeur, à laisser les autres prendre soin de nous?
◾ Le monde. A quel point sommes-nous capable d’avoir un impact sur notre environnement, d’être clairvoyant quant à ce qui se passe autour de nous, de nous autoriser à réussir dans ce que l’on entreprend, que ce soit au niveau professionnel et personnel ?

Chaque catégorie étant divisée en portions correspondantes aux différentes permissions ou émotions, notre travail est d’hachurer le degré d’autorisation plus ou moins grand pour chacune d’elles.
L’espace hachuré délimite ainsi une zone de « sécurité ». Plus cette zone en grande, plus notre scénario de vie est souple. Plus elle est petite, plus notre scénario de vie est limitant.
5) Noter dans un journal de bord toutes les permissions que l’on s’accorde actuellement en soulignant tout ce qui va bien.
6) Célébrer ces permissions
7) Réfléchir en priorité à faire évoluer les portions déjà importantes et mettant en place un plan d’action détaillé et daté.
8) En dernier lieu, réfléchir aux permissions sous développées. Qu’est-ce qui fait résonance? Est-ce que l’on ressent un impact dans notre vie au quotidien ? Est-ce que l’on est conscient de transmettre ces injonctions à notre enfant ? Ces interprétations faites en étant enfant ont-elles encore un sens dans notre vie actuelle ? Quand on s’aventure sur des terrains inconnus, qu’est-ce que cela déclenche en nous ? Juste observer. Les permissions grandissent surtout au niveau de l’inconscient.
L’objectif n’est pas de viser le 100% de permissions dans tous les domaines. La perfection n’existe pas ! Nous sommes tous différents et il est important de garder des zones plus faibles qui reflètent notre personnalité et permettent à notre enfant plus tard d’en faire autant.
Le poids sur l’éducation a tendance à nous faire répéter les mêmes schémas comportementaux que nos parents. Mais, nous pouvons réduire les effets indésirables de ces injonctions en les remplaçant par nos propres permissions.
Vous voulez vous libérer du poids de certaines injonctions qui vous empêchent d’avoir des relations saines avec votre famille, mais vous avez besoin d’une aide extérieure ? Sachez qu’une méthodologie est nécessaire ainsi qu’un travail de fond afin d’obtenir des résultats efficaces sur la durée. C’est pourquoi, je vous propose un accompagnement personnalisé, en fonction de vos besoins. Je vous invite à réserver votre appel découverte sur mon site www.sandrine-bonnet.fr, pour un premier échange gratuit et sans engagement de 30 minutes.
Prenez soin de vous et de votre famille.
